Notre Démarche
Le Gefluc Grenoble Dauphiné Savoie finance chaque année des projets médicaux en accord avec nos missions. Ces projets nous parviennent de 2 façons différentes :
- Par 1 appel à projets émis chaque année pour un montant total variant de 40 000 à 70 000 €.
- Par des demandes reçues en cours d’année, en fonction de besoins particuliers.
Tous les projets reçus sont examinés par le conseil scientifique, avant validation de notre Conseil d’administration.
Jean-Luc DESCOTES, ancien président du Conseil Scientifique du GEFLUC nous explique le fonctionnement du conseil scientifique et son rôle dans le choix des projets financés par le GEFLUC.
Projets financés en 2019
En 2019 le Gefluc Grenoble Dauphiné Savoie a aidé l’achat du logiciel de représentation 3D (SYNAPSE 3D) pour un montant de 17 500€ au service d’urologie et de transplantation rénale du CHU Grenoble Alpes. La représentation 3D d’un organe ainsi que ses rapports avec l’environnement est nécessaire dans les gestes conservateurs afin d’améliorer la précision du geste : le chirurgien doit s’assurer de l’absence d’envahissement de la voie excrétrice, des rapports avec les branches de vascularisation de la tumeur, des marges tumorales qui varient en fonction du stade de la lésion et de la nature histologique de celle-ci.
Cet outil sera utilisé auprès des patients présentant un cancer du rein, dont le traitement repose sur la chirurgie la plus conservatrice.
En 2019 le Gefluc Grenoble Dauphiné Savoie a aidé le projet de recherche sur le « Rôles du microenvironnement tumoral et de l’interaction ICOS/ICOS ligand dans les lymphomes T angio-immunoblastiques » porté par le CHU Grenoble Alpes.
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En 2019 le Gefluc Grenoble Dauphiné Savoie a aidé le projet de recherche « Cibler le splicéosome : un nouvel axe thérapeutique dans les cancers du poumon» porté par l’INSERM.
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En 2019 le Gefluc Grenoble Dauphiné Savoie a aidé le projet de recherche du CNRS, au travers de l’IAB, qui consiste à développer et évaluer de nouveaux vecteurs théranostiques de 10B pour la radiothérapie BNCT (Boron Neutron Capture Therapy)et l’imagerie optique.
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En 2019 le Gefluc Grenoble Dauphiné Savoie a aidé le projet d’étude du GHM d’évaluation dans les conditions réelles d’utilisation (« vraie vie »), de l’impact de la réalisation du test Oncotype DX® sur les décisions thérapeutiques du cancer du sein. La SEM Oncotype DX ®, est un test diagnostic moléculaire permettant d’analyser la biologie individuelle d’une tumeur du sein. Ce test permet d’estimer le bénéfice de la chimiothérapie et le risque de récidive à distance à 10 ans et ainsi, d’éclairer les praticiens dans leur prise de décision de traitement adjuvant chez certaines femmes atteintes de cancer du sein à un stade précoce. Ce test a démontré son intérêt clinique dans la prise de décision d’un traitement par chimiothérapie en complément des critères clinico-pathologiques standards.
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En 2019 le Gefluc Grenoble Dauphiné Savoie a financé l’achat d’un casque de réalité virtuelle à l’Hôpital Privé Drôme Ardèche de Privas pour l’évaluation des effets à court et long-terme de la réalité virtuelle utilisée pendant la chimiothérapie. La chimiothérapie entraine des stimuli désagréables (douleurs liées à la ponction veineuse ou à l’accès au port-à-cath, nausées anticipées, etc.), de la peur, de la tristesse ou de l’anxiété. L’occupation ou distraction (relaxation progressive, imagerie guidée, distractions cognitives (lecture, humour, écouter de la musique, regarder un film), etc.) lors de la chimiothérapie a été identifiée comme un excellent moyen pour accompagner les patients atteints de cancer. On s’attend à une amélioration du vécu de la chimiothérapie ainsi qu’à une diminution des effets secondaires.
Projets financés en 2018
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En 2018, le Gefluc a financé le projet d’aide à la recherche, porté par le Docteur Caroline ASPORD, en partenariat avec l’Institut Français du sang, l’Institut Albert Bonniot et le CHU Grenoble Alpes, à hauteur de 15 000€. Ce projet concerne l’exploration des points de contrôle immunitaire sur les cellules NK,Tγδ et iNKT et l’impact des immunothérapies en contexte de mélanome. |
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En 2018, le Gefluc Grenoble a financé le projet d’aide à la recherche du Docteur Odile FILHOL COCHET, agissant pour le compte de l’INSERM, à hauteur de 15 000 €. Cette aide vient compléter celle déjà apportée en 2017 concernant ce même projet et dont des premiers résultats ont été obtenus. Pour mémoire, ce projet concernait l’étude de nouvelles cibles thérapeutiques pour le cancer du rein : Validation pré-clinique de nouvelles combinaisons prometteuses de molécules ciblant des protéine-kinases.Pour mémoire, consultez l’onglet correspondant de 2017. |

Il s’agit d’une activité d’Art-thérapie pour le service de cancérologie. Les patients bénéficient, pour leur bien-être de l’intervention d’artistes chanteurs et musiciens venant leur diffuser de belles ondes!
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En 2018, le Gefluc Grenoble a financé le projet d’aide aux malades initié par le Dr Christine REBISCHUNG, pour le compte de l’institut Daniel Hollard, à hauteur de 7 755 €. Ce projet consiste en la création d’un jardin thérapeutique, nouveau soin de support pour les patients de l’Institut Daniel Hollard. |
Au 1er étage de l’Institut Daniel Hollard, se trouve un patio central d’une centaine de mètres carrés. Ce patio, accessible et visible depuis la porte vitrée et de grandes fenêtres, est aujourd’hui à l’abandon. Sous l’impulsion de Mme Vallier, Mme Alcalay, Mme Rosset, Mme Thiersault et le Dr Rebischung, un projet de réhabilitation de cet espace vert a été imaginé. Le but est de transformer cet espace en un jardin thérapeutique.
Ce jardin sera un véritable lieu d’apaisement, de tranquillité et de repos pour les patients et accompagnants, pour les inviter à respirer et s’évader momentanément de l’univers anxiogène de l’hôpital et du cancer.
L’IDH souhaite créer un espace animé et dédié aux patients. En plus de transformer ce patio en un espace vert reposant, agréable et coloré, il est prévu de lui impulser de la vie par diverses interventions.
Quelques exemples d’animations à venir : Les déambulations de « Belle Lurette », de l’association « Les Neztoiles », ou les ateliers proposés par l’ERI : jardinage, danses, poésies, animateurs proposant de la relaxation, de la méditation…
Projets financés en 2017
En 2017, le Gefluc Grenoble a financé le projet d’aide à la recherche du Docteur Florence PUCH, agissant pour le compte du CHU Grenoble Alpes, à hauteur de 20 000 €. Ce projet concerne l’étude de la tumorigenèse d’une nouvelle lignée cellulaire de glioblastome, possédant des caractéristiques de cellules souches cancéreuse in vivo et permet de tester le sélénite de sodium comme nouvelle molécule thérapeutique de lutte contre le GBM chez l’animal.
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Schéma Explicatif du Projet
En 2017, le Gefluc Grenoble a financé le projet d’aide aux malades du docteur Stéphane Bouvier, agissant pour le GHM (Groupe Hospitalier Mutualiste), à hauteur de 15 000 €. Il s’agit d’une étude prospective, visant à évaluer l’intérêt de l’apprentissage de l’autohypnose pour des patients traités par chimiothérapie pour un cancer colorectal ou du sein. L’autohypnose permet de réduire la consommation médicamenteuse et les effets indésirables des chimiothérapies.
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Le Dr Stéphane Bouvier, à gauche, lors d’une cérémonie de remise de chèques au GHM, le 21 juin 2018
Les tous premiers résultats, dans la newsletter AUTOP de janvier 2019
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En 2017, le Gefluc Grenoble a financé le projet d’aide à la recherche du docteur Odile Filhol Cochet, agissant pour l’INSERM, à hauteur de 30 000 €. Ce projet concerne l’étude de nouvelles cibles thérapeutiques pour le cancer du rein : Validation pré-clinique de nouvelles combinaisons prometteuses de molécules ciblant des protéine-kinases.
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En 2017, le Gefluc Grenoble a financé le projet d’aide aux malades du Dr Dalil Hananni, agissant pour le CNRS, à hauteur de 29000€. Ce projet concerne l’étude de la modulation du microbiote intestinal pour améliorer la réponse aux vaccins thérapeutiques anti-cancéreux.
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Schéma Explicatif du Projet
« L’enjeu est de faire en sorte que ces patients accèdent à l’innovation thérapeutique, pour que les options les plus adaptées soient trouvées » rappelle Joël GUIGAY. Rappelons que les cancers ORL sont malheureusement très développés dans le monde de l’Entreprise et cette première collaboration nous permet d’espérer, dans un futur proche, un travail autour de la prévention et notamment du sevrage tabagique.
Projets financés en 2016

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Projets financés en 2015
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En 2015, le Gefluc Grenoble a attribué une somme de 20 000 € pour le projet du docteur Sophie PARK et son équipe, concernant l’évaluation du rôle des métabolites du tryptophane dans la niche hématopoïétique dans les syndromes myélodysplasiques
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En 2015, le Gefluc Grenoble a financé le projet d’étude du Docteur Amandine Briault, pneumologue, Pôle thorax et vaisseaux, à hauteur de 20 000 €. Ce projet a permis d’acheter du matériel, ayant pour objectif de prendre en charge plus rapidement les patients et ainsi d’évaluer leur qualité de vie avant et après la pose de prothèse endobronchique pour une désobstruction tumorale liée à un cancer thoracique
En 2015, le Gefluc Grenoble a apporté une aide financière de 15 000 € au professeur Mireille Mousseau, Chef du service d’Oncologie médicale au CHU Grenoble Alpes et présidente de l’association AGARO. AGARO propose des activités d’art thérapie, apportant une Amélioration du bien-être des malades dans leur parcours de soins
Des Projets financés en 2014
En 2014, le Gefluc Grenoble a attribué, dans le cadre du soin au malade, une somme de 44 000 €, à la clinique d’Urologie et de Transplantation Rénale du CHU de Grenoble pour l’achat d’une colonne d’endoscopie vésicale de dernière génération.Cette imagerie très innovante pour l’évaluation et le diagnostic des tumeurs de la vessie de haut grade est maintenant quotidiennement utilisée au cours des consultations pour accélérer et fiabiliser les diagnostics.
Le Professeur Jean-Jacques Rambeaud, Chirurgien au CHU Grenoble Alpes en Urologie et transplantation Rénale, nous explique comment la colonne d’endoscopie vésicale de dernière génération, permet d’évaluer et de diagnostiquer au plus tôt des tumeurs de la vessie. Cette technologie permet de colorer les tumeurs et de ne pas passer à côté pour avoir le diagnostic le plus précis possible.